quelques consignes et partages

Derniers articles

  • le contraire de l’amour

    26 avril 2010, par seliste

    Le contraire de l’amour n’est pas la haine Le contraire de l’espoir n’est pas le désespoir Le contraire de la santé mentale et du bon sens n’est pas la folie Et le contraire du souvenir ne s’appelle pas oublier Mais n’est autre que à chaque fois L’indifférence Elie Wiesel

  • proverbes, pensées et autres petites phrases

    26 avril 2010, par seliste

    POUR AVOIR LA PRESENTATION WORD, ouvrir la pièce jointe Vivre comme si on allait mourir demain Vivre comme si aujourd’hui était l’éternité Le hasard , c’est dieu qui passe incognito Albert EINSTEIN Heureux les fêlés, car ils laissent passer la lumière Clown de rue Il faut marcher longtemps pour retrouver sa jeunesse Proverbe hindou “ Un ami, c’est quelqu’un qui vous connaît bien et qui vous aime quand même. ” Hervé Lauwick Avance Et tu seras libre (revue sources) Il faut trois ans pour (...)

  • les ailes du désir

    26 avril 2010, par seliste

    Extraits de dialogues du film de Wim Wenders « LES AILES DU DESIR » (à voir et revoir) Deux anges descendent sur terre pour se rapprocher des humains, et l’un d’eux tombe amoureux d’une jeune femme trapéziste. Il décide de devenir humain

  • Supplique d’un enfant à ses « enseignants »

    26 avril 2010, par seliste

    POUR LA PRESENTATION WORD, ouvrir la pièce jointe Supplique d’un enfant à ses « enseignants » Apprenez-nous l’enthousiasme, l’étonnement de découvrir, N’apportez pas seulement vos réponses, Réveillez nos questions, Accueillez surtout nos interrogations. Apprenez-nous à échanger, partager, dialoguer. Enseignez-nous les possibles de la mise en commun N’apportez pas seulement votre savoir, réveillez notre faim d’être. Accueillez nos contradictions et nos tâtonnements. Appelez-nous à (a)grandir dans la vie. (...)

  • Bonjour mon corps

    26 avril 2010, par seliste

    POUR AVOIR LA PRESENTATION WORD, ouvrir la pièce jointe Bonjour mon corps C’est à toi que je veux dire aujourd’hui, combien je te remercie de m’avoir accompagné de puis si longtemps sur les multiples chemins de ma vie. Je ne t’ai pas toujours accordé l’intérêt, l’affection ou simplement le respect que tu mérites. Souvent je t’ai même ignoré, maltraité, matraqué de regards indifférents, de silences pleins de doutes, de reproches violents. Tu es le compagnon dont j’ai le plus abusé, que j’ai le plus trahi. Et (...)

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